"Il n’est jamais trop tard pour être heureux".
Je suis une femme de 25 ans. J’ai eu des problèmes de violence psychologique et verbale pendant mon mariage. C’est grâce au Centre que j’ai graduellement compris que ce n’est pas seulement la violence physique qui détruit. L’abus mental et l’abus verbal ne se voient pas, mais se sont les principaux agents dans l’escalade de la violence conjugale, car, après la destruction psychologique, vient la destruction physique. Je veux insister sur le fait que, comme la femme, l’homme a aussi besoin d’aide. Il n’est jamais trop tard pour être heureux. Le Centre est le commencement d’une nouvelle vie.
Personnellement, je dis que le Centre doit continuer avec force pour pouvoir aider tous ceux qui vivent dans la violence conjugale et ne se rendent pas compte que la violence est aujourd’hui une réalité constante.
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